Ce que ne fait pas Chantal Delsol qui s'insurge en outre contre le manque de réaction des instances représentatives françaises musulmanes : « Mais alors je m'étonne de ne pas voir les autorités musulmanes de notre pays s'indigner les premières et voler au secours du banni. ». Un homme arrêté pour avoir menacé de mort Robert Redeker, Appel au meurtre contre Redeker : un islamiste arrêté, Affaire Redeker : le jugement mis en délibéré, « Robien affirme sa solidarité à Redeker », « Gilles de Robien a fait des propositions à Redeker », https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Robert_Redeker&oldid=174000474, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Il a aussi tenu une chronique régulière dans Culture Droit, dans Médias, dans Bücher/Livres (le supplément littéraire du Tageblatt). Caroline Fourest, sur le blog de la revue ProChoix, dénonce la condamnation de la tribune de Redeker par l'imam Youssef al-Qaradâwî sur la chaîne de télévision d'information Al Jazeera. Robert Kirk is an emeritus professor in the Department of Philosophy at the University of Nottingham.He is known for his work on philosophical zombies—putatively unconscious beings physically and behaviourally identical to human beings. Voir aussi l'éditorial d'Evariste, « Robert Redeker : première victime de la fatwa en France ». L'article est enlevé du site web du Figaro, mais il y est remis par la suite[6]. Cet argument est avancé par Chalmers pour montrer l'insuffisance des explications en termes de processus physiques lorsqu'elles portent sur les aspects subjectifs de la conscience. Il est un temps « très actif dans des groupes d'extrême gauche »[3]. souhaitée] Entre les deux procès, Mustapha Dian a étendu ses menaces à toute la famille de Robert Redeker.[réf. souhaitée]. Ceux qui ne sont pas d'accord avec lui n'ont qu'à lui répondre par écrit, en argumentant. Dans son usage philosophique, cette notion est très éloignée de son usage courant associé à la légende ou au cinéma, dans la mesure où il est posé par principe qu'un zombie ne peut être distingué d'une personne vivante et consciente. Quant à Youssef al-Qardaoui, il n'a parlé que quelques secondes (moins d'une minute) du texte de Robert Redeker, au milieu d'un discours plus général sur l'islamophobie, il n'a même pas cité le nom du philosophe français, il s'est contenté d'appeler les téléspectateurs à « protester d'une manière sage » contre « l'auteur de l'article du Figaro ». Mais la possibilité logique du zombie montre que les faits relatifs à la conscience ne se réduisent pas logiquement aux faits physiques tels que nous les concevons et pourraient bien être des phénomènes fondamentalement différents. »[22]. Il y a des silences qui sont des acquiescements. nécessaire]. chargé de l'étude et de l'observation de la vie religieuse à Strasbourg, critique les propos incriminés de Robert Redeker en confrontant le Coran à la Bible, en les taxant d'« insanités qui marquent une grave dégradation de l’esprit public » et de « littérature indigente »[24]. […] Nous n'avons donc pas supporté la rhétorique de ces condamnations de Tartuffe, qu'elles émanent du ministre, d'intellectuels, de la LDH ou du Mrap. Il est notamment connu par les vives polémiques déclenchées par l'une de ses tribunes consacrée à l'Islam et à la liberté d'expression parue dans Le Figaro en 2006, à la suite de laquelle il reçoit des menaces de mort et est contraint de vivre sous protection policière. Il y a des silences qui sont des acquiescements. Le mot revient à trois reprises dans « l'appel Onfray », et tous les grands médias l'ont repris. Justin Vaïsse, auteur d'un livre sur l'islam en France, défend le principe de la liberté d'expression, tout en ajoutant que l'article de M. Redeker est motivé par un « agenda anti-islam » et que l'article est « stupide, politiquement irresponsable, intellectuellement inconsistant et par ailleurs d'une grande faiblesse »[16].