Le domaine d'emploi est donc limité à la destruction d'appareils non manœuvrant, dans leur secteur arrière à une distance comprise entre 900 m et 4,8 km. Le système consiste en un blindé chenillé (châssis de M113) équipé d'une tourelle mobile à quatre rails de lancement. Environ 70 000 missiles en ont été produits. 2 120 AIM-9G seront produits entre 1970 et 1972. Son nom vient d'un serpent, le sidewinder snake (Crotalus cerastes, espèce de crotale) qui détecte lui aussi ses proies par la chaleur. Extérieurement, on remarque avant tout la plus petite taille des ailerons. Toutes les performances sont améliorées. It is a nocturnal inhabitant of the southwestern United States and northwestern Mexico (see Sonoran Desert), where it feeds upon rodents. Le système de contrôle en vol de l'arme est directement asservi à l'autodirecteur à l'aide de deux servomoteurs qui actionnent les ailerons avant. La production d'une première série de développement d'AAM-N-7 Sidewinder 1 démarre en 1955 chez General Electric qui a gagné le contrat. À partir de la version L, les grandes lignes étant établies, il n'y aura plus d'évolutions majeures. De nombreux systèmes sont moins performants, seul la, AIM-9X : nouvelle cellule, nouvel autodirecteur compatible avec les viseurs de casque. Seules quelques améliorations seront apportées, telles qu'un moteur à émissions de fumée réduites, pour le rendre moins facile à repérer visuellement et de nouvelles contres-contres-mesures sur la version M. Cette version M sera elle même déclinée en plusieurs modèles, de AMIN-9M-1 à AIM-9M-10. 700 seront construits sur la base de vieux AIM-9C. Celui-ci est constitué de 4 kg d'explosif en poudre polymérisé PBXN-3 tritonol et de câbles d'aciers enroulés en spirale, soit une masse totale de 9,4 kg. Seules quelques améliorations seront apportées, telles qu'un moteur à émissions de fumée réduites, pour le rendre moins facile à repérer visuellement et de nouvelles contre-contre-mesures sur la version M. Cette version M sera elle-même déclinée en plusieurs modèles, de AMIN-9M-1 à AIM-9M-10. L'US Air Force décida donc de s'en équiper, sous le nom de GAR-8. En 1986 est lancé le développement de la version AIM-9R, mais une réduction budgétaire eut raison de cette version qui devait être équipée d'un autodirecteur WGU-19/B IIR plus performant. Tirés depuis un véhicule terrestre ou une plateforme mobile. Elle fut également construite à un millier d'exemplaires entre 1965 et 1969. Environs 5 000 AIM-9B seront convertis en AIM-9E. De nombreuses forces aériennes européennes l'adopteront et 15 000 seront produits. Il peut être utilisé d'origine sur tous les types de chasseurs conçus aux États-Unis, l'immense majorité des avions de combat d'Europe et d'Asie de l'Est (hors République populaire de Chine), et, avec quelques modifications, par des chasseurs d'origine soviétique et russe tels le Mig-29 ou des hélicoptères. Les faibles performances de l'AIM-9B poussèrent l'US Navy à lancer le développement de l'AIM-9C à guidage radar semi-actif et de l'AIM-9D à guidage Infrarouge. Environ 270 victoires aériennes de par le monde sont dues à des AIM-9 Sidewinder, toutes versions confondues[Quand ?]. Plus tard, la Navy s'équipera de la version AIM-9H, avec un autodirecteur encore plus rapide (20°/s contre 16,5°/s), affichant une efficacité bien supérieure à ses prédécesseurs. La charge militaire est constituée d'un ensemble annulaire WDU-17B. Seuls 240 exemplaires furent produits. L'efficacité du système de guidage était très faible. Un nouveau moteur augmentait également la portée à 18 km. Les ailerons arrière sont immobiles et ne servent qu'à la stabilisation de la trajectoire, grâce à un dispositif nommé « rollerons » qui induit un mouvement de rotation autour de l'axe longitudinal. 7 700 armes seront produites. Tirés depuis plus d'un type d'environnement. L'autodirecteur de la version H laisse la place à l'AN/DSQ-29 et un détecteur InSb refroidi à l'argon et le moteur à un propulseur solide Mk36. L'AIM-9G est une version améliorée par l'US Navy, couplant, pour l'acquisition de cibles, l'autodirecteur du missile au radar de l'avion. L'US Navy pour sa part eut plus de succès avec les versions AIM-9D et AIM-9G. Stockés à 45° ou moins et tirés depuis le sol. Le Missile AIM-9M peut être séparé en quatre sections : Le guidage est assuré par un autodirecteur infrarouge WGU-4/B composé d'un récepteur infrarouge, d'un miroir pivotant, d'un système de refroidissement à l'argon, tout cela placé derrière un dôme en verre transparent aux infrarouges. Au total, durant ce conflit, 82 victoires seraient dues à des AIM-9. Les ailerons arrière sont immobiles et ne servent qu'à la stabilisation de la trajectoire, grâce à un dispositif nommé « rollerons » qui induit un mouvement de rotation autour de l'axe longitudinal. L'US Air Force avait pour sa part adopté le missile AIM-4B Falcon, mais au cours d'engagements simulés entre avions de l'Air Force et de la Navy, l'AIM-9 se révéla très supérieur. Le service web Alexandria est motorisé par Memodata pour faciliter les recherches sur Ebay. 2 120 AIM-9G seront produits entre 1970 et 1972. L'histoire de ce qui deviendra un des plus grands succès de l'industrie de l'armement, commence en 1950 à China Lake, centre d'essais de l'US Navy. Le 4 décembre 2007, lors d'un test, deux AIM-9X ont réussi à détruire une fusée simulant un missile balistique, il s'agit de valider le capteur infrarouge du missile NCADE[1]. Préférant une solution nationale, de nombreux tests seront réalisés par tous les partenaires du programme AIM-9. En 1996, Hugues Aircraft co. est déclaré vainqueur du concours et se voit attribuer le contrat de développement. Il ne « voyait » qu'un cône de 4° vers l'avant et était très sensible à toutes les sources de chaleur (soleil, sol, avion ami). Version de série, AIM-9C : autodirecteur électromagnétique et, AIM-9G : nouveau système d'acquisition, propulseur Rocketdyne MK.86, AIM-9K : version très améliorée, abandonnée pour restrictions budgétaires. Il fut décidé de modifier leur système de guidage à bande étroite par un récepteur à bande large, faisant de ceux-ci des missiles anti-radar. En 2002 les premiers exemplaires sont livrés à l'US Navy et l'US Air Force, alors qu'en 2004 est lancée la production à grande échelle.